L’expédition maudite

Pour votre gouverne

One hour
23 rue Servan
75011 Paris

Ligne 9 : Station Voltaire
Lignes 2 et 3 : Station Père Lachaise

https://www.one-hour.fr

C’est fou comme, lorsque l’inspiration ne vient pas, nous nous posons des questions quant à l’utilité d’écrire une introduction. Est-ce que ça vaut vraiment le coup de nous casser la tête alors qu’il suffit d’annoncer le titre de la salle et de préciser le nom de l’enseigne ? Parce que, si cela est le cas, et ça l’est forcément puisque ça nous arrange, sachez que cette review est consacrée à L’expédition maudite de One hour. Voilà ! Pas de chichi !

Continuons sur cette lancée et parlons maintenant thunes sans passer par quatre chemins… Si vous composez une équipe de six explorateurs et que vous venez pendant que tout le monde bosse, vous paierez 26€ chacun tandis que, si vous venez à deux, en heure pleine, vous devrez débourser 50€ tout rond. Concrètement, plus vous serez nombreux et disponibles, plus vous pourrez vous payer de caviar au retour de votre expédition. Ça fonctionne aussi avec le carburant…

Le scénario ?

En gros, c’est l’histoire d’un mec qui nous convoque parce que son équipe de potos, partie explorer une vieille mine, n’est jamais revenue… C’est couillon ! Nous sommes donc missionnés pour aller les chercher et ce, même si les dernières nouvelles envoyées par la cheffe de l’opération ne laissent pas présager de bonnes choses. Histoire de nous simplifier la vie, le contact a été perdu entre temps… Du coup, personne ne sait rien sur rien et nul ne peut nous mâcher le travail. Voilà qu’en plus, nous allons devoir tout faire nous même… Çapueducul !

Quoi qu’il en soit, notre bonté d’âme nous pousse à tenter le sauvetage de la dernière chance. Au passage, une petite mission supplémentaire consistant à ramener tout ce qui brille nous est confiée. Bah voyons !

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Et tout le toutim…

Ne nous mentons pas, lorsque One hour ouvre une nouvelle salle, nous sommes toujours partagés entre l’excitation de retourner les voir et l’appréhension d’être mangés tout crus, salade, tomates, oignons, sauce algérienne. En effet, cette enseigne est passée maîtresse dans l’art de nous faire dresser les cheveux sur la tête…
C’est donc deux tiers enjoués et un tiers anxieux que nous arrivons sur les lieux en cette fin d’été… Et oui Jamy ! Le 20 septembre, c’est encore l’été, même si tout le monde est déprimé d’être retourné au boulot ! Bref ! Le calendrier des saisons n’étant pas censé être le thème de cet article, revenons-en au fait !

Nous vous passerons les détails du traditionnel accueil accompagné du petit coup à boire… Sachez tout de même que demander un thé avant de commencer un escape game est une très mauvaise idée. Nous vous le déconseillons puisque vous seriez très probablement amené à devoir le finir assez rapidement et donc à vous brûler les papilles. Pour ne rien vous cacher, c’est d’ailleurs ce qui est arrivé à l’une d’entre nous.
Heureusement que nous devions vous passer les détails…

Notre game master du jour, appelons-le Milan car, visiblement, c’est son prénom, nous conduit en salle de briefing, nous récapépète le pourquoi du comment et nous équipe afin que nous revenions aussi entiers que possible de notre expédition.
Sur ce point, il semble vraiment que notre sécurité tienne au cœur de l’enseigne… Casques et genouillères pour toute la clique ! Ce n’est pas très fashion week mais, au moins, nous éviterons le trauma crânien. Merci qui ? Merci One hour !

Avant de nous laisser partir, Milan nous informe tout de même de l’existence d’une safe zone dans la mine. C’est dans cette pièce que nous devrons nous rendre pour être protégés de toute présence non désirée. Une safe zone ? Une présence non désirée ? Nous avions donc bien raison d’appréhender cette aventure…

Nous descendons alors dans la mine, absolument pas confiants en l’avenir, et découvrons que l’enseigne a mis le paquet sur le moyen de déplacement nous emmenant à destination. Nous ne voulons pas trop en dévoiler mais, après plusieurs expériences, sachez qu’il s’agit probablement de la plus réaliste que nous ayons testée.

Nous voilà maintenant au cœur même de la mine… Nous sommes immédiatement frappés par le réalisme des décors mais n’avons pas franchement le temps d’en profiter car la première étape nous attend. La première étape… Mais si ! Vous savez… La première étape de tout escape d’aventure digne de ce nom, celle dans laquelle il faut rétablir un truc comme le contact ou le courant électrique. Ceci dit, ce n’est pas parce que c’est classique que ce n’est pas kiffant à réaliser d’autant plus que, cette fois-ci, l’espace dans lequel nous évoluons est carrément original.

Alors que nous sommes en train de crapahuter partout, de fouiller les moindres recoins et de nous faufiler dans des tunnels et autres galeries souterraines, nous nous rendons vite compte que les casques ne sont pas là pour décorer. Nous entendons régulièrement un « Boom » suivi d’un « Aïe » venant de nos coéquipiers. Évidemment, le « Aïe » est plutôt un « P*tain » mais nous ne souhaitons pas heurter les plus distingués de nos lecteurs…

Après avoir rétabli ce qui devait être rétabli, nous pouvons tranquillement nous concentrer sur la recherche de l’équipe disparue. Tranquillement ? Et la marmotte… Nous sommes chez One hour, l’adrénaline ne tarde d’ailleurs pas à monter et la safe zone à prouver son utilité.
Heureusement, nous n’y restons pas longtemps et finissons par la quitter, le palpitant légèrement agité, afin de reprendre nos recherches. Pour une fois, la fouille nous réussit et nous parvenons très rapidement à pénétrer dans un deuxième espace qui nous coupe littéralement le souffle. La salle est magnifique ! Époustouflante ! Extraordinaire ! Oui… Rien que ça ! Nous ne pouvons pas nous empêcher de nous arrêter quelques secondes afin d’admirer ce merveilleux décor.
Malheureusement, il faut rapidement revenir à nos moutons… Les étapes s’enchaînent et tout est parfaitement fluide. Malgré une ambiance « ce tombeau sera votre tombeau » qui nous met un peu les miquettes, nous parvenons à rester concentrés.

Toujours intégrées au scénario, les énigmes offrent un parfait équilibre entre manipulation, réflexion et observation. Par ailleurs, nous devons avouer passer complètement à côté de la quête secondaire proposée par l’enseigne. Que voulez-vous ? Nous sommes des gens au-dessus de l’appât du gain, seule la beauté intérieure compte… Onavaitsurtoutoubliémaisonnassumepas !

Résumons la situation… Nous sommes dans un très bel environnement, la fouille se passe bien et nous résolvons les énigmes assez facilement. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes… Jusqu’à ce que nos trouvailles nous apprennent ce qu’il est arrivé à l’équipe d’aventuriers que nous sommes venus chercher. Changement d’ambiance… C’était bien sympa tout ça mais disons que nous n’avons pas franchement envie de connaître le même sort.
Pour sauver notre peau, l’un d’entre nous va être obligé de donner littéralement de sa personne. Chose inhabituelle, les membres les moins vaillants de notre équipe se révèlent les plus courageux tandis que la plus intrépide est en tachycardie dans un coin de la pièce. C’est à se demander ce qu’il y avait dans le thé… Pour ceux du fond qui n’ont pas suivi, merci de relire le début du toutim…

La prochaine énigme va faire appel à notre sang froid, ou plutôt à ce qu’il en reste, et à nos talents en communication. Coup de bol, nous sommes sur la même longueur d’onde et parvenons à échanger. Après deux ou trois essais infructueux, nous retrouvons nos esprits et parvenons à avancer… Bien entendu, nos nerfs ne cessent d’être mis à rude épreuve. Nous n’en attendions pas moins…

C’est alors que la quête secondaire vient se rappeler à nos mémoires. Nous tentons donc de sauver les meubles en récoltant quelques objets précieux. Peut-être seront-ils bien utiles lorsqu’il faudra payer la facture de chauffage. Ou celle du carburant. Là aussi ça fonctionne.

Dans le feu de l’action, une manipulation, que nous apprécions particulièrement, fait monter la pression et nous oblige à coopérer. Flûte alors ! Nous qui ne jouons qu’avec des gens que nous n’aimons pas… Voilà que nous sommes obligés de nous adresser la parole !
Quoi qu’il en soit, nous parvenons à amasser un magot acceptable et résolvons l’ultime énigme, celle permettant de sauver nos miches, au bout de 58 minutes et 38 secondes. C’était moins une !

Alors que nous sommes de retour auprès de Milan, nous lui apprenons la fin tragique de ses copains… Allumez un cierge s’il vous plaît ! Toutefois, notre hôte est vite consolé lorsque nous lui remettons toutes les choses brillantes récupérées sur notre chemin. Sympa le pote…

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Après délibération du conseil

Parce qu’il y a des salles plus immersives que d’autres, des énigmes plus abouties que d’autres et des décors plus somptueux que d’autres, nous ne pouvons qu’écrire du bien de L’expédition maudite de One hour.

Toutes les étapes se sont enchainées avec une fluidité impressionnante et ont fait la part belle à un scénario aussi cohérent que possible.
Histoire de ne rien omettre, nous nous devons d’évoquer le roleplay de notre game master dont l’investissement nous a parfaitement comblés.
De plus, les espaces de jeu, originaux et variés, nous ont permis de ne jamais nous lasser. C’est toujours chouette de passer de l’antre d’un Schtroumpf à celle de Gargamel en quelques minutes.

Tout ça pour dire que, si vous êtes en quête d’aventure et de frissons sans pour autant chercher à être tétanisé, L’expédition maudite est clairement faite pour vous ! Cette salle est une réussite qui saura vous transporter, vous surprendre et vous amuser… Un vrai régal !

Bulletin scolaire

Décors :5
Fouille :2
Réflexion :2
Difficulté générale :2

Mission Yakuza

Pour votre gouverne

One hour
23 rue Servan
75011 Paris

Ligne 9 : Station Voltaire
Lignes 2 et 3 : Station Père Lachaise

https://www.one-hour.fr

Devinez quoi… Nous voilà de retour chez One hour, enseigne au sein de laquelle nous avons vécu une gueule de bois carabinée lors d’une Very bad night, avons fait pipi dans nos camisoles pendant Lost asylum et avons carrément, pardonnez l’expression, chié dans nos bens en découvrant L’abattoir. Malgré tout cela et après un report de huit mois pour cause de vous-même vous savez quoi, l’heure est enfin venue de découvrir la Mission Yakuza !

Bien que le terme Yakuza puisse résonner dans certains esprits comme synonyme de mafia japonaise dangereuse, avide de pouvoir et prête à tuer tout le monde sur son passage, nous ne sommes absolument pas inquiets à l’idée de nous y frotter.
Effectivement, si nous avons réussi à surmonter le stress post-traumatique apparu suite à notre rencontre avec le boucher, nous sommes certains de pouvoir survivre à quelques japonais tatoués. Espérons tout de même qu’aucun d’eux ne lise jamais cette phrase…

Si vous désirez, vous aussi, déjouer les plans et arrêter le parrain de cette organisation, quelques crimes mis à part, ô combien sympathique, il vous faudra monter une équipe de 2 à 5 collègues et régler le pot-de-vin de 26€ à 48€ selon la taille de votre brigade. Plus on est de fous, moins on paie !

Le scénario ?

Dans le monde merveilleux des bōryokudan se trouve Kinechi Shonida, célèbre parrain que vous ne connaissez certainement pas. Sachez toutefois que cette très charmante personne, à la tête d’un réseau mêlant trafic d’armes et trafic de drogues, est introuvable. Pouf. Disparue.
Pourquoi nous direz-vous ? Probablement parce que, quelques jours plus tôt, l’inspecteur chargé de son arrestation a été retrouvé tout bleu et tout froid dans une planque crasseuse. Canné le condé ! Tout ça pour dire qu’il est fort probable que ce drug lord cherche à s’enfuir au Japon…

Le ministre de l’Intérieur, que nous refusons de nommer ici pour des raisons éthiques de soutien à la cause des femmes, a donc besoin des meilleures recrues pour retrouver Shonida… Et c’est là que vous intervenez ! Vous et vos collègues de la police scientifique allez poursuivre le travail de feu l’inspecteur en vue de trouver des indices permettant de coincer Kinechi Shonida.

Alors… Prêt à résoudre l’enquête la plus importante de votre vie ?

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Et tout le toutim…

C’est en ce dix-neuvième jour du mois de juin, à 14H00 précises, alors que Jean Dujardin fête son anniversaire, que les plus ponctuelles d’entre nous se rendent chez One hour. Cinq minutes plus tard, le retardataire du groupe nous fait l’honneur de sa présence. L’équipe est au complet !
Nous sommes à la fin d’une semaine de grosses chaleurs à Paris qui, nous ne le savions pas encore, s’avèrera être la seule de l’été. Le soleil cogne et la climatisation du local de l’enseigne est la bienvenue pour remettre nos cerveaux au frais avant d’affronter la mission du jour.

Nous sommes accueillis par notre gentille game master qui nous propose un petit rafraîchissement afin de faire redescendre notre température corporelle. Nous voilà tout ouïe pour le pitch au cours duquel notre hôte change radicalement de ton… L’heure est grave !
Après un rappel du pourquoi du comment nous sommes là, elle nous explique être la commissaire chargée de nous guider dans nos recherches depuis le quartier général. Pas le temps de niaiser, nous sommes déjà dans le vif du sujet !

Nous entrons rapidement dans la première pièce de cet escape game qui s’avère être un très moderne laboratoire de la police scientifique. Nous y découvrons quelques pièces à convictions que nous tripotons, sans scrupule, avec nos mains et nos empreintes. Des gants ? Pour quoi faire ? Nous sommes au-dessus de ça !
Nos cerveaux fusent et c’est assez vite que nous accédons à la planque où l’inspecteur a calanché et visiblement mangé beaucoup de conserves. Pas forcément dans cet ordre d’ailleurs… Autrement dit, la première chose que nous constatons, c’est que ce brave homme n’était ni porté sur le rangement, ni sur l’hygiène.

Hormis le fait qu’il ne s’agisse pas vraiment du lieu rêvé pour rendre son dernier souffle, cette pièce regorge tout de même d’une incroyable quantité d’informations. Sur les murs, chaque centimètre carré est occupé par des coupures de journaux, des affiches et des photos en tout genre. Nous sommes à deux doigts de nous croire dans le bureau d’Alexander Mahone lorsqu’il était à la recherche des huit de Fox River… Les vrais savent !

Nous retournons littéralement l’intégralité des objets présents dans la pièce sans avoir besoin de nous excuser auprès de l’occupant des lieux… Il est mort !
Bref… Cette énigme nous demande autant de réflexion que de manipulations en vue de récolter les premiers indices nous permettant, d’une manière franchement cool, de retracer les circonstances du décès de l’inspecteur.

Pendant tout ce temps, nous devons rendre des comptes à notre boss qui en attend visiblement beaucoup de nous. Facile de faire trimer ses collègues en restant, derrière son bureau, les fesses sur une chaise… Mais bon, l’implication de notre game master est tellement chouette que nous lui pardonnons le fait de ne pas s’être mouillée.

Tout ce début d’aventure se passe comme sur des roulettes… Nous franchissons les étapes une à une, toujours sur les traces de Shonida. Arrive alors le moment où une façon inédite de résoudre une énigme se présente à nous. Sans être de grands adeptes, nous devons reconnaître que cette expérience n’est pas des plus désagréables.
C’est ainsi que nous nous retrouvons dans un tout nouvel univers, bien plus japonisant cette fois. Nous sommes ravis de découvrir ce décor original et hyper travaillé mais le temps presse… Shonida a clairement une longueur d’avance sur nous et commence à nous faire tourner en bourriques. Nous avons beau cogiter et recogiter, les secrets de la pègre nippone nous résistent. Vous l’avez compris, nous galérons plus que de raison mais, fort heureusement, notre collègue planquée nous vient en aide au moment propice.

Encore quelques étapes, quelques beaux décors et quelques retours au laboratoire de nos débuts sont nécessaires à la résolution de l’enquête. Nous sommes officiellement en possession de toutes les informations quand un dilemme crucial se présente à nous. En toute connaissance de cause, nous optons pour un choix rigolo mais pas forcément judicieux… Sans spoiler quoi et qui que ce soit, disons simplement que One hour et ses game masters ont fait en sorte de nous retourner le cerveau.

Retour au bercail où un dernier moment d’adrénaline met notre palpitant à rude épreuve. Bizarrement et contrairement à notre habitude, nous restons lucides et finissons en beauté la Mission Yakuza au bout de 59 minutes et 54 secondes. Fiouf ! C’était moins une… Ou moins quatre plutôt !

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Après délibération du conseil

One hour a très facilement réussi à s’imposer comme l’une des meilleures enseignes de la capitale. Leur secret ? Nous ne le connaissons pas… Mais ce dont nous sommes sûrs, c’est que l’équipe de game masters est plus qu’au taquet. Comme lors de nos aventures passées, l’investissement de notre hôte a parfaitement servi le scénario proposé par l’enseigne.
La Mission Yakuza n’est qu’un exemple supplémentaire de ce savoir-faire qui plonge les joueurs dans une histoire claire, trépidante et immersive.

Si cette salle possède un univers un peu moins original que les précédentes, elle n’en reste pas moins réalisée à la perfection. Les décors sont tous travaillés dans leurs moindres détails. Ils regorgent d’ailleurs de secrets que seuls les plus observateurs remarqueront… Seule une incroyable surprise capable d’en mettre plein les mirettes manque, selon nous, à l’appel.
De plus, il est important d’évoquer l’agencement de cette énigme qui s’avère être plutôt atypique. En effet, le laboratoire de la police scientifique sert de point de départ aux autres salles. Il vous faudra donc y repasser systématiquement avant de découvrir un nouvel univers.

Dans Mission Yakuza, en plus d’utiliser vos yeux, vos mains et vos cerveaux, votre équipe devra prendre des décisions susceptibles de changer le cours de votre aventure. De plus, les énigmes pourront être adaptées à votre avancée dans le jeu. Ainsi, sept fins différentes sont écrites et proposées par One hour. Vous ne vivrez donc pas forcément le même dénouement que l’équipe de votre tante Roberte passée trois heures plus tôt.

Tout est bien intégré, bien huilé et bien pensé… À aucun moment nous n’avons perdu de vue notre objectif. Nous ne sommes pas là pour nous échapper mais bien pour résoudre une enquête. Même si des petits rebondissements viennent se faufiler dans la quête initiale, le scénario ne dévie pas de sa ligne de mire. Il faut retrouver ce satané Shonida !

Certes, les enquêtes policières sont monnaie courante dans le monde des escape games. Cependant, Mission Yakuza réussit brillamment l’exercice en proposant une énigme au sein de laquelle le joueur semble maître de son destin. Grosso modo, c’est franchement bien fait et ça plaira probablement à tous, copains comme cochons, débutants comme aguerris.

Bulletin scolaire

Décors :4
Fouille :3
Réflexion :4
Difficulté générale :3