Il était une pièce

Pour votre gouverne

La pièce
3 rue de Metz
75010 Paris

Lignes 4 & 8 & 9 : Station Strasbourg – Saint-Denis

www.lapiece.com

Notre marathon estival s’achève le jeudi 20 août. Pour cette ultime étape, nous décidons d’affronter La pièce. Son thème autour de Lewis Carroll et d’Alice au pays des merveilles nous attire. De plus, nous en avons beaucoup entendu parler et avons envie de nous faire notre avis sur cet escape game.

Une fois n’est pas coutume, nous accueillons exceptionnellement un quatrième membre dans notre équipe. C’est la première fois que nous ne serons pas trois pour nous confronter à une énigme. Suspens…

Le bureau de Lewis Carroll étant unique au monde, vous ne pourrez pas affronter d’autres passionnés de cet univers. Pour avoir le privilège d’entrer dans ce haut lieu de la littérature, vous devrez débourser entre 25 et 30 euros par personne. Pour ne pas changer, le prix dépend du nombre de joueurs de votre équipe.

Le scénario ?

Un bureau secret de Lewis Carroll a été découvert au sous-sol de sa demeure. Vous avez 60 minutes pour visiter et fouiller les lieux puis trouver le moyen d’en sortir. Pourquoi ? Nous n’en savons pas plus que vous…

alice

Et tout le toutim…

Notre entrée dans les locaux de La pièce se fait entre ouvriers, poussière et plâtre. En effet, l’enseigne est en travaux car elle proposera bientôt une seconde énigme.

Nous sommes accueillis par Chloé, créatrice de La pièce. Elle nous explique rapidement les règles de base de l’escape game, particulièrement pour notre invitée du jour, et le scénario de l’énigme. Elle nous accompagne ensuite dans le bureau de Lewis Carroll à la lueur d’une bougie car le lieu est plongé dans le noir. Voici une entrée en matière assez sympathique.

Après quelques instructions données par la voix de Lewis Carroll s’adressant à Alice, nous allumons la lumière et découvrons le décor qui nous entoure. Nous comprenons à ce moment-là que nous sommes dans la peau de la jeune fille blonde, ce qui ne nous avait pas été expliqué auparavant. Nous n’avons donc plus qu’à sortir de notre mauvais rêve…

Un grand bureau orné d’une machine à écrire, des meubles anciens, une cheminée et une bibliothèque composent ce décor sobre et élégant. Nous voyageons instantanément au XIXème siècle.
Un grand miroir nous transmet les indices et un sablier nous permet de surveiller le temps qui passe. Nous apprécions alors l’absence d’anachronisme.

Une bande sonore faite de craquements de parquet et de bruits de voix lointaines nous accompagne. Cette mélodie nous met dans l’ambiance… Nous avons vraiment l’impression d’être au sous-sol de la maison de l’auteur.

Nous commençons rapidement le travail de fouille. Premier constat, il y a beaucoup de cadenas. Une petite étiquette est présente à côté de chacun d’eux afin de nous expliquer le moyen de les ouvrir. Grâce à ces indications, peu d’indices nous sont envoyés.

Nous continuons à scruter les moindres recoins et trouvons des clefs, des clefs et encore des clefs… Nous n’en avons jamais autant vues dans un escape game.

Une fois la fouille achevée, nous nous creusons la tête pour résoudre les énigmes. La réflexion est assez linéaire. Un cadenas ouvre une boîte qui livre un indice pour ouvrir une autre boîte et ainsi de suite. Cependant, des mécanismes d’ouvertures très sympathiques et originaux sont présents dans la pièce. Le décor fait partie intégrante du jeu et peut nous servir pour avancer dans l’énigme.

De nombreuses fausses pistes nous font perdre du temps mais nous parvenons tout de même à trouver la bonne clef pour sortir du bureau en 56 minutes.
Emballé, c’est pesé !

Sans titre-1

Après délibération du conseil

Bien que le pitch soit un peu léger, cette énigme tient la route. Il s’agit d’un escape game digne de ce nom puisque la sortie se fait en déverrouillant la serrure de la porte principale.

Nous regrettons cependant les fausses pistes qui manquent de subtilité et les indices présents sur les cadenas pour nous aider. Nous empêchant de faire travailler nos méninges à notre guise, ces derniers nous ont quelque peu frustrés.

En quittant la pièce, fiers de nous, nous redescendons rapidement de notre nuage en entendant les critiques de notre game master. Chloé nous a fait comprendre que nous avions trop mis le bazar en jouant. Elle nous en a également voulu de passer à côté d’une étape pas très cruciale à notre goût. Dire que d’autres en auraient ri…

Suite aux très sympathiques messages échangés par Internet avec l’équipe de La pièce, nous avions hâte de faire leur connaissance. Au final, nous avons été surpris par l’accueil moyennement souriant qui nous a été offert. Certes, l’enseigne était en travaux mais cela n’excuse pas tout.

C’est pour toutes ces raisons que nous restons mi-figue, mi-raisin mais surtout mitigés…

Bulletin scolaire

Décors :2
Fouille :3
Réflexion :3
Difficulté générale :3

 

Vaudou

Pour votre gouverne

L’antichambre
55 boulevard Saint-Martin
75003 Paris

Lignes 4 & 8 & 9 : Station Strasbourg – Saint-Denis

www.lantichambre.paris

Notre marathon d’escape games commencé le lundi 17 août chez Leavin room continue ! Nous décidons de changer un peu de rituel pour découvrir une toute nouvelle enseigne : L’antichambre.
Afin de ne pas attirer le mauvais œil, nous suivons leurs conseils et décidons d’affronter Vaudou, leur salle la plus simple.
Au même titre que trois autres énigmes de L’antichambre, Vaudou a été concoctée par les shamans de l’escape game, les hongrois de Claustrophilia.

Si vous souhaitez intégrer la communauté Vaudou, sachez que L’antichambre ne propose qu’une seule salle. Vous pouvez toujours prier Papa Legba d’en ouvrir de nouvelles mais aujourd’hui, il reste impossible d’affronter une autre équipe au cours de cet escape game.

Pour entrer dans ce monde de magie noire, vous devez un peu vous saigner et verser entre 10€ et 40€ par personne. Comme pour les autres enseignes, le prix dépend du nombre de joueurs mais également du moment de la journée pendant lequel vous jouez.

Le scénario ?

Un bruit court selon lequel des personnes disparaissent aux alentours de la Porte Saint-Martin… Ah ah ah ! Vous entendez ce rire démoniaque ?

Victimes d’enlèvement, très peu d’entre eux sont retrouvés… Les rescapés racontent qu’ils se sont réveillés dans un lieu de culte étrange où de drôles de rituels obscurs se déroulent. A leur réveil, ils n’ont eu qu’une heure pour s’enfuir avant qu’une nouvelle cérémonie Vaudou ne commence. Gare à vous !

Capture d’écran 2015-09-05 à 00.21.37

Et tout le toutim…

Après être sortis d’une salle plus difficile la veille, nous sommes plutôt confiants à l’idée de devoir nous échapper. C’est donc assez paisibles que nous pénétrons chez L’antichambre.

Nous sommes accueillis par un game master aimable qui nous invite à enfermer nos affaires personnelles sous clés. A nous de veiller à ne pas la confondre avec une clef du jeu. Une fois prêts, ce dernier nous dirige vers la salle et nous explique l’inquiétante histoire. Nous venons de nous faire kidnapper par une tribu aux us et coutumes mystérieux. Première angoisse…

Avant même que le décompte ne commence, notre game master nous couvre les yeux et nous menotte les uns aux autres. Deuxième angoisse…

Le jeu démarre ! Bien que nous soyons attachés ensemble, nous réussissons rapidement à nous libérer et à retrouver l’usage de la vue. Manque de bol, nous sommes dans le noir.

Une vidéo de présentation se déclenche : elle renforce l’ambiance sombre des lieux. Nos ravisseurs, des indigènes masqués pas très contents de notre présence, annoncent que leur prochain rituel de magie noire va commencer dans une heure et qu’ils s’attaqueront d’abord à la plus jeune d’entre nous. Troisième angoisse…

Le film terminé, nous trouvons le moyen de nous éclairer et découvrons un décor tout droit tiré d’un village Vaudou. Des masques africains sont exposés, des instruments de musique de toutes origines sont placés un peu partout et des ingrédients dignes des meilleurs sortilèges sont rangés dans des bocaux… De plus, un grand nombre d’inscriptions ornent les murs. Dommage qu’elles ne soient pas utiles…
Quoi qu’il en soit, l’univers Vaudou est plus que présent.

Dès les premières secondes du jeu, nous remarquons que nous avons accès à une deuxième salle. Comme vous vous en doutez, il est impossible de comprendre son fonctionnement avant d’avoir résolu toutes les énigmes de la précédente.

Après une fouille bien maîtrisée et très rapide, tous les éléments commencent à prendre sens. Nous enchaînons très vite les énigmes, évitons les pièges et ne perdons pas une seconde.

Nous bloquons sur une étape. Notre maître du jeu nous envoie alors un indice, indice correspondant à l’étape précédente… Dommage.

Nous attaquons la dernière étape. Il s’agit là d’une énigme très maligne qui pourrait être vraiment intéressante si elle était un peu plus poussée.

Nous nous échappons en seulement 40 minutes en battant notre record personnel ! Le peuple Vaudou va devoir trouver d’autres victimes pour ses incantations…

4

Après délibération du conseil

40 minutes… Vous allez dire que c’était facile. Effectivement, notre premier constat est sans appel : cette pièce est faite pour les débutants. Elle ressemble plus à une suite de jeux d’adresse et de logique qu’à un jeu d’esprit et de réflexion. Pour autant, cela ne lui retire pas son charme ; elle reste envoûtante !

Nous retenons cependant un anachronisme et un anatopisme : la présence d’une clé USB dans un univers de magie noire.

Enfin, notre aventure s’est heurtée à une première : celle d’un maître du jeu qui n’a pas suivi toute notre avancée. Malheureusement, le seul indice qu’il nous ait envoyé correspondait à une étape que nous avions déjà réalisée quelques minutes plus tôt.

A l’inverse, nous avons apprécié le fait de devoir sortir de ce lieu de culte en déverrouillant une porte. Comme le nom du jeu le sous-entend, nous nous sommes réellement échappés.

Précisons aussi que l’équipe de L’antichambre est vraiment très sympathique.

Certes, l’énigme Vaudou s’adresse à des novices en matière d’escape game mais elle nous a permis de signer notre dixième victoire consécutive.

Bulletin scolaire

Décors :3
˜Fouille :2
˜Réflexion :1
Difficulté générale :2

Le tour du monde en 60 minutes

Pour votre gouverne

LeavinRoom
28 bis boulevard Pereire
75017 Paris

Ligne 3 : Station Wagram
RER C : Station Pereire-Levallois

www.leavinroom.fr

Lundi 17 août 2015 : nous revenons de nos vacances londonniennes et, pour réveiller nos neurones, décidons de nous lancer dans un marathon d’escape games. Trois salles en une semaine. No more, no less.
Nous commençons donc notre folle semaine chez LeavinRoom en affrontant leur tour du monde en 60 minutes. Here we go!

Si vous souhaitez partir à l’aventure, sachez que LeavinRoom ne propose qu’une seule salle. Il est donc impossible de défier une autre équipe de globe-trotters lors de cet escape game. Damn it !

Afin de parcourir le monde, vous devez débourser entre 20€ et 34€ par personne. Comme à l’accoutumé, le prix dépend du nombre de voyageurs à vos côtés.

Le scénario ?

Vous avez toujours rêvé d’entrer au très select LeavinClub ? Afin de valider votre adhésion, ses membres vous mettent à l’épreuve : vous devez accomplir le tour du monde… Mais attention !
Contrairement à Phileas Fogg, célèbre héros du roman de Jules Verne, qui a eu quatre-vingt jours pour accomplir cet exploit, vous, vous ne disposez que de soixante minutes… Challenge accepted !

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Et tout le toutim…

Lorsque nous arrivons chez LeavinRoom, nous sommes légèrement plus stressés que d’habitude. En effet, c’est la première fois que notre équipe se mesure à une salle dont le taux de réussite ne dépasse pas les 30%. Certes, nous sommes stressés, mais nous sommes surtout déterminés à venir à bout du défi qui nous attend. Bring it !

Nous sommes accueillis par une game master très aimable qui nous met à l’aise et nous offre à boire dès notre arrivée. Une fois prêts, nous sommes conviés dans les sous-sols de l’enseigne, là où se trouve le bureau de Phileas Fogg. Ce dernier sera notre guide tout au long de la partie et c’est par sa voix que les indices ainsi que le décompte du temps nous parviendront.

Bien qu’il fasse très sombre, nous entrons dans une pièce aux jolis décors. Le bureau contient beaucoup de souvenirs de voyages : valises, photos de villes européennes, objets ethniques… S’y trouvent aussi une bibliothèque, des cartes du monde et un plan de métro parisien.
Autant vous dire que la thématique du voyage et du transport n’est pas sans rappeler l’époque de la révolution industrielle.

A travers une porte entrouverte, nous découvrons un accès vers une seconde salle. Accès condamné par un cadenas… Evidemment ! LeavinRoom ne va pas nous faciliter la tâche.
En parlant de cadenas et après avoir regardé attentivement notre aire de jeu, nous nous rendons compte qu’il y en a un certain nombre. Le défi s’annonce ardu ! Sh*t !

Après une brève introduction sonore, la fouille peut commencer. Comme d’habitude, nous retournons tout sur notre passage. Ce n’est qu’une fois cette étape terminée que vient le moment de réfléchir.
Contrairement au Pays des merveilles où nous avions trouvé les énigmes assez simples, Le tour du monde en 60 minutes nous invite vraiment à nous creuser les méninges. En creusant un peu plus, nous aurions probablement débouché sur les couloirs du métro.

Fouille, réflexion, manipulation et culture générale… Tous ces éléments sont présents pour que cet escape game ne nous laisse aucun répit ! Bizarrement, ce n’est pas l’aspect cérébral mais la fouille qui nous pose quelques soucis. Nous pensions avoir tout trouvé… Que nenni ! Il faut s’y remettre !
Bien évidemment, les fausses pistes sont également là pour nous ralentir : nous pensons notamment à ce p*tain de **** qui nous a fait perdre de précieuses minutes ! M*ther f*cker !

Finalement, nous réussissons à déverrouiller l’accès à la seconde salle et à venir à bout des mystères, assez coriaces, qu’elle propose. La dernière énigme, quant à elle, ne nous résiste pas longtemps.
Notre tour du monde se termine après 59 minutes et 01 seconde. C’était juste !

Bilan des courses : nous faisons désormais partie du célèbre LeavinClub !

TDM

Après délibération du conseil

Sans aucun doute, cette salle est l’une des plus difficiles que nous ayons affrontée jusqu’à présent… Et cela n’est pas pour nous déplaire ! The harder, the better !
Nous avons retrouvé cette adrénaline, cette motivation d’aller au bout du défi, ce moment de doute où l’un d’entre nous se dit « On n’y arrivera pas » et ça fait du bien !

Nous avons beaucoup apprécié le fait de devoir sortir du bureau de Phileas Fogg en déverrouillant la porte. Nous sommes dans un véritable escape game où le but, comme son nom l’indique, est de s’évader.

Les fausses pistes ont parfois cassé le rythme de nos recherches, nous empêchant de cerner la continuité des énigmes. Malgré cela, les énigmes sont bien ficelées, la fouille est présente et le décor très travaillé. Well done !
Le tour du monde en 60 minutes est une très bonne salle que nous recommandons aux joueurs déjà aguerris !

That’s all folks !

NB : Suite à notre récent voyage à Londres, nous avons décidé d’ajouter de l’anglais à nos propos…
NB2 : Toutes nos excuses pour la vulgarité qui émane de notre article. Bisous bisous.

Bulletin scolaire

Décors :4
˜Fouille :3
˜Réflexion :4
Difficulté générale :4

Le Pays des Merveilles

Pour votre gouverne

LeavinRoom
28 bis boulevard Pereire
75017 Paris

Ligne 3 : Station Wagram
RER C : Station Pereire-Levallois

www.leavinroom.fr

14 juillet… Cocorico ! En ce jour de célébration et de festivités, les accros que nous sommes ont besoin de leur dose d’adrénaline. Voilà l’occasion idéale pour participer à notre septième escape game.
Après quelques hésitations, nous faisons le choix de découvrir LeavinRoom. Suivant leur conseil, nous optons pour un trip dans le monde alambiqué d’Alice au Pays des Merveilles.

LeavinRoom ne propose qu’une salle pour cette énigme. Nous ne pouvons donc challenger nos neurones qu’à trois, quatre ou cinq personnes maximum. Vous l’aurez compris, il est impossible de fumer d’autres équipes au cours d’un battle. Dommage !

Si vous voulez avoir la chance d’halluciner au Pays des Merveilles, il vous faudra dépenser entre 20€ et 34€ par personne. Il s’agit donc du même principe ; plus on est nombreux, moins on paie. Mais croyez-nous, c’est de la bonne !

Le scénario ?

La très célèbre Alice, celle du Pays des Merveilles, a été capturée par la cruelle Reine de Cœur. Sniff ! Vous seul pouvez la sauver. Attention ! Des surprises et des rencontres hallucinantes pourraient retarder votre traversée… D’autant plus que vous n’aurez que 60 minutes pour retrouver Alice.
Le temps presse… N’oubliez pas que là-bas, la vérité n’est pas toujours celle que l’on croit alors méfiez-vous des badtrips !

Prenez une dose de courage, avalez une pilule de motivation et plongez dans ce monde où illusion et réalité ne font qu’un !

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Et tout le toutim…

Pour notre première mission chez LeavinRoom, nous sommes à la fois rassurés et euphoriques de découvrir un univers dont nous sommes addicts. Qu’il s’agisse de Lewis Carroll, de Disney ou de Tim Burton, Alice, nous la connaissons ! Nous partons donc, assez confiants mais légèrement anxieux, en direction de cette nouvelle enseigne.

14H00 (notre heure porte-bonheur) : nous pénétrons dans les locaux de LeavinRoom. L’accueil est sympathique mais timide. Nous regrettons de ne pas avoir nos bières fraîches promises lors de nos échanges de tweets. Mais qu’à cela ne tienne, nous sommes quand même ivres de motivation !

Notre maître du jeu nous briefe dans une petite pièce sombre. Pour sortir, pas de recette miracle puisque nous devons « simplement » retrouver Alice. Ça, c’est notre came !

Impatients, sous l’effet de l’excitation, nous entrons enfin dans Le Pays des Merveilles. Notre première réaction est unanime : Waouh ! On ne nous a pas menti sur la marchandise ! L’ambiance, les couleurs, les détails et les références à Alice au Pays des Merveilles sont là. La pièce est parfaitement décorée.

Nous nous trouvons dans un jardin stupéfiant aux décors fabuleux. De l’herbe, des horloges, des fioles, des gâteaux et une grande pendule ornent la pièce. Nous entendons alors la voix d’Alice qui nous accueille ; c’est elle qui nous guidera et nous donnera des indices tout au long du jeu.

La partie démarre ! La dose de stress augmente, nous fouillons, fouillons et fouillons encore ! La bande sonore du film de Tim Burton nous accompagne et nous fait planer.

Les étapes s’enchaînent. Alice, notre dealer d’indices, est là pour nous aider mais notre connaissance de son univers nous fait gagner de préciseuses minutes. Plus nous avançons, plus nous découvrons d’éléments rappelant l’univers imaginé par Lewis Carroll. Des cartes à jouer, de la vaisselle, du matériel de croquet… Tout y est !

Et là, c’est le hic ! Un cadenas nous résiste… Nous restons bloqués un bon moment mais finissons par en venir à bout. Nous avons évité la crise d’angoisse ! La suite du jeu s’enchaîne très rapidement jusqu’à ce que nous délivrions Alice et que notre game master nous ouvre la porte.
Victoire ! Nous sortons, un peu stone, au bout de 55 minutes !

Sans titre-1

Après délibération du conseil

Pour un premier test chez LeavinRoom, nous devons reconnaître qu’il est réussi. Néanmoins, avouons que Le Pays des Merveilles est une pièce relativement simple à résoudre.
Les énigmes demandent plus de dextérité que de réflexion. Pour les résoudre, une bonne connaissance de l’univers d’Alice peut être un réel avantage et vous faire gagner du temps.

Une bonne dose de fouille saura accueillir les plus fouineurs d’entre vous. Si vous êtes dans ce cas, cette pièce est faite pour vous ! En ce qui nous concerne, nous avons été quelque peu freinés par la peur d’abîmer ce fragile décor.

Au final, nous avons eu notre quota d’adrénaline. Nous devons tout de même reconnaître que nous aurions apprécié sortir du Pays des Merveilles de façon plus spectaculaire. Une porte qui s’ouvre, un dernier cadenas à déverrouiller ou entendre Alice nous remercier de l’avoir sauvée aurait terminé à la perfection cette énigme.

Ces détails mis à part, nous vous conseillons vivement de tester cette pièce, particulièrement si vous êtes néophyte en la matière. En revanche, si vous êtes déjà dépendant, vous risquerez d’être en manque de prises de tête ou d’adrénaline. En effet, Le Pays des Merveilles est la pièce la plus simple de LeavinRoom.
Nous pouvons tout de même affirmer que les décors et l’atmosphère qui s’en dégage ne peuvent que faire rêver l’ensemble des participants.

PS : « We’re all mad here ! »

Bulletin scolaire

Décors :5
˜Fouille :4
˜Réflexion :2
Difficulté générale :2

Les Catacombes

Pour votre gouverne

The game
51 rue du Cardinal Lemoine
75005 Paris

Ligne 10 : Station Cardinal Lemoine
Lignes 7 et 10 : Station Jussieu

https://www.thegame-france.com

Juin se termine et l’été pointe le bout de son nez… Il fait beau mais nous, nous décidons de nous enfermer dans Les Catacombes de The game.

Une nouvelle fois, comme pour Braquage à la française et L’enlèvement, l’enseigne ne propose qu’une seule salle pour cette énigme. Il est donc impossible que plusieurs équipes s’affrontent en même temps dans la pénombre des Catacombes.

Si tenter l’expérience ne vous fait pas peur, cela vous coûtera la modique somme de 27€ à 35€ par personne. Comme d’habitude, le prix dépend du nombre d’aventuriers qui composent votre équipe.

Le scénario ?

La rue du Cardinal Lemoine recèle bien des secrets… C’est ce que comprend l’enseigne lorsqu’elle s’y installe en découvrant un accès caché aux Catacombes de Paris. Mais ce n’est pas tout !
Figurez-vous qu’un homme y a été enterré avec son trésor. Rien que ça ! Vous l’aurez compris, si vous osez pénétrer dans cet obscur lieu parisien, sachez que votre devoir sera de retrouver celui-ci.

Cela vous semble simple ? Ne partez pas trop confiant car, comme d’habitude, le temps joue contre vous. Vous n’avez que soixante minutes pour accéder aux Catacombes, trouver le trésor et vous échapper.

Alors, prêt à jouer les braves ?

Catacombes

Et tout le toutim…

The game ne déroge pas à la règle puisque nous recevons un texto, dès le réveil, nous invitant à défier Les Catacombes. Un poil stressés, un peu excités, mais encore une fois très motivés, il nous tarde que l’aventure commence !

Notre arrivée chez The game s’accompagne d’un petit pincement au cœur. En effet, il s’agit de notre troisième et dernière aventure chez eux. Nous regrettons déjà l’accueil chaleureux qui nous est offert à chaque visite. D’autant plus que Maxime, l’un des créateurs de l’enseigne, nous reconnaît avant même que nous franchissions le seuil de la porte. Nous réalisons alors que notre blog commence à porter ses fruits. Voilà qui nous donne la banane !

Une fois entrés, nous sommes accueillis par notre game master qui nous propose un verre. La capitale étant écrasée par la canicule, ce jus d’orange bien frais tombe à pique ou à trèfle si vous préférez.
Le scénario expliqué, nous comprenons que l’un d’entre nous va être fait prisonnier. Pas de surprise puisque nous en avions entendu parler et avions déjà décidé de notre captif.
Deux d’entre nous devrons donc trouver l’entrée des Catacombes pour délivrer le troisième avant de commencer réellement l’aventure.

Le jeu démarre. Nous trouvons rapidement l’entrée des Catacombes puis réussissons à délivrer notre acolyte. Premier constat : il fait très sombre ! Pas étonnant pour un lieu de sépulture… Pour nous aider à y voir clair dans ce cimetière, nous ne sommes munis que de lampes frontales. La grande classe ! Ou pas.

Nous commençons tous les trois le travail de fouille que nous finissons très rapidement. Une fois les indices réunis, nous comprenons qu’il faudra réaliser une série de petites épreuves afin de trouver le trésor. L’ordre importe peu. Ce fonctionnement est différent des autres escape games auxquels nous avons participé. Il y a bien quelques cadenas à ouvrir mais très peu d’énigmes à résoudre.

Nous réalisons facilement les épreuves à l’exception d’une qui nous pose de sérieux problèmes. Nous perdons beaucoup de temps dessus et finissons par nous en sortir grâce à notre game master qui nous demande de réaliser un petit défi en échange d’un précieux indice.
Rassurez-vous, aucun joueur n’a été maltraité au cours de cet escape game.

Une fois les épreuves réalisées, nous découvrons le trésor. La fin approche et nous devons maintenant sortir des Catacombes. Pour cela, une dernière énigme est à résoudre ; celle-ci se rapproche plus de ce qui nous a été proposé lors de nos précédentes expériences.

L’adrénaline monte en fin de jeu. Nous parvenons à retrouver la lumière du jour en 57 minutes et 41 secondes.
Heureux mais sales et poussiéreux, nous réalisons notre sixième sortie consécutive. Carton plein !

Ok catacombes

Après délibération du conseil

Si vous avez toujours rêvé de participer à Fort Boyard mais que vous n’avez pas la notoriété nécessaire pour intégrer l’émission, sachez que cet escape game est fait pour vous !
Quoi ? Vous n’avez même pas dit « Allô » devant les caméras de NRJ 12 ? Dommage…

En ce qui nous concerne, nous devons avouer que cette énigme nous a surpris puisqu’elle correspondait moins à nos attentes. Les défis, toujours bien pensés, sont sympathiques et la fin du jeu très chouette mais le manque de cadenas à ouvrir et d’énigmes cognitives à résoudre s’est fait sentir.

Même si nous n’avons aucun regret, vous l’avez bien compris, cette salle n’est pas celle que nous avons préférée. Cependant, nous devons quand même reconnaître que l’ambiance créée correspond parfaitement au thème annoncé.

Après avoir participé à toutes les énigmes de The game, nous devons avouer que l’enseigne a réalisé un bel exploit. Les trois salles de très bonne qualité, les univers différents et l’accueil incomparable à ce que nous avons pu vivre auparavant nous laissent penser que nous avons trouvé nos chouchous.

Bulletin scolaire

Décors :4
˜Fouille :1
˜Réflexion :3
Difficulté générale :3

L’enlèvement

Pour votre gouverne

The game
51 rue du Cardinal Lemoine
75005 Paris

Ligne 10 : Station Cardinal Lemoine
Lignes 7 et 10 : Station Jussieu

https://www.thegame-france.com

Mai, le printemps, le pollen et ses senteurs de fleurs. Un moment parfait, en tant qu’allergiques, pour s’enfermer et réaliser notre cinquième escape game. Pour celui-ci, nous décidons de remettre le nez chez The game afin de découvrir ce que cache L’enlèvement.

The game ne propose qu’une seule salle pour cette énigme. Nous ne pouvons y participer qu’à trois, quatre ou cinq personnes maximum. Si vous vous sentiez l’âme d’un compétiteur souhaitant défier d’autres équipes, dommage.

Pour avoir le plaisir de fouiner dans les affaires de la danseuse parisienne, il faudra alléger votre portefeuille de 27€ à 35€ mais pas de panique, l’argent n’a pas d’odeur. Au final, c’est comme d’habitude, le prix dépend du nombre de personnes qui composent votre équipe.

Le scénario ?

Paris. 1959. Lise, une danseuse qui fait tourner toutes les têtes de la capitale, a été enlevée.
Ça sent mauvais pour elle.

Bien entendu, qui dit enlèvement dit aussi rançon. En parlant de rançon, celle que réclament les ravisseurs a comme une odeur de rancune. Et pas de chance pour vous, l’objet qu’exige les malfaiteurs reste introuvable. Enfin… C’est ce que disent les proches de Lise.

Perdus, désemparés et apeurés, ces derniers ont besoin de votre aide. Le temps presse… Ils espèrent que vous avez un certain flair et le goût de l’aventure car vous n’avez qu’une heure pour retrouver cet objet mystérieux. C’est ainsi que Lise sera tirée de son pétrin.

Alors, cette mission, vous la sentez comment ?

L'enlèvement

Et tout le toutim…

Avec The game, une nouvelle fois, la mission démarre au petit matin. Nous recevons un texto du frère de Lise : il nous demande de l’aide pour retrouver sa sœur et nous donne l’heure du rendez-vous. Immédiatement plongés dans le jeu, le stress commence à se faire sentir.

14H00 : nous arrivons dans les locaux de The game. Accueillis très agréablement par notre maître du jeu qui nous met directement au parfum, celui-ci nous explique les instructions du jeu en les mêlant au scenario. Nous savons maintenant qu’aucun objet ne se trouve à plus d’un mètre soixante-dix car Lise est de très petite taille…

Par ailleurs et comme lors de notre braquage dans la même enseigne, le game master fait lui aussi partie de l’histoire puisqu’il s’agit du frère de Lise. Il nous presse car nous avons du pain sur la planche… Il compte sur nous pour délivrer sa soeur en retrouvant l’objet mystérieux dont nous découvrons la photo. En plus de cette photo, notre game master nous montre le mot qu’il a reçu de la part des infectes ravisseurs. Nous prenons note et entrons enfin dans l’appartement de Lise.

Notre première réaction est unanime : nous venons de remonter le temps. Nous nous trouvons dans une atmosphère de cabaret parisien des années 50.
La pièce est parfaitement habillée. Une grande bibliothèque, un bureau, un canapé, des instruments de musique et des vieilles photos de Paris viennent parfaire ce décor très soigné.
Le plus beau reste le fait qu’aucun anachronisme ne vient infecter ce tableau : pas d’écran mais un moyen bien plus original pour indiquer le temps et recevoir des indices.

Le jeu est sur le point de démarrer, tous nos sens sont en alerte et bientôt mis à l’épreuve. Sur des airs d’Edith Piaf et de Jacques Brel, nous ne manquons pas de flair et commençons à fouiller la chambre de Lise. Plus nous fouillons, plus nous trouvons d’indices. Notre phase de réflexion s’annonce ardue. Voilà qui ne sent pas très bon…

Beaucoup de surprises viennent nourrir notre évolution dans le jeu jusqu’à ce que nous découvrions enfin le secret de Lise. A ce moment précis, tout s’enchaîne. Nous passons les étapes une à une, restons bloqués sur certaines et en réussissons d’autres très rapidement…
Nous sentons la fin arriver. Le rythme et le volume de la musique augmentent, tout comme notre stress. Chaque obstacle nous impressionne, tout est très bien pensé, parfaitement exécuté mais rien ne nous résiste !
Nous sortons, sourires aux lèvres, au bout de 54 minutes d’efforts continus.

OK Danseuse

Après délibération du conseil

Nous l’avons dit et le répétons encore une fois, The game c’est la classe à Dallas. Dans l’énigme de L’enlèvement, anciennement nommée La danseuse parisienne, nous trouvons pour la première fois un parfait équilibre et une vraie harmonie entre la fouille et la réflexion. Il s’agit là d’un jeu différent des autres escape games auxquels nous avons participé auparavant.

Comme ils sont sympa chez The game, nous discutons un peu avec notre maître du jeu et apprenons que cette énigme, bien qu’étant, malheureusement, la moins bien vendue de l’enseigne, a été conçue avec l’aide d’un magicien. Et ça, ça se sent !

Dans l’ensemble, L’enlèvement est une pièce relativement difficile à résoudre mais, sans aucun doute, la meilleure que nous ayons eue à affronter ! Alors un conseil, suivez votre instinct : tentez-la !

Bulletin scolaire

Décors :5
˜Fouille :4
˜Réflexion :4
Difficulté générale :3

Braquage à la française

Pour votre gouverne

The game
51 rue du Cardinal Lemoine
75005 Paris

Ligne 10 : Station Cardinal Lemoine
Lignes 7 et 10 : Station Jussieu

https://www.thegame-france.com

Il est grand temps de nous attaquer à notre quatrième escape game… Nous optons pour un braquage de banque chez The game parce qu’il faut quand même avouer que leur teaser vidéo vend du rêve.

The game ne propose qu’une seule salle pour cette énigme. On ne peut donc la tenter qu’avec une équipe de trois à cinq personnes maximum. Ici, impossible de faire une battle avec d’autres groupes d’amis.

Pour braquer une banque, il vous faut débourser entre 27€ et 35€ toutes taxes comprises. Vous l’aurez compris, le prix dépend du nombre d’escros qui sont de la partie.

Le scénario ?

Fraîchement sorti de prison, le célèbre malfrat Max souhaite se venger de l’inspecteur de police responsable de sa chute. Un peu rancunier le Max. De plus, il s’avère que l’inspecteur possède des preuves accablantes susceptibles de le renvoyer derrière les barreaux. Le bougre !
Pour récupérer ces documents placés dans un coffre de banque surprotégé, Max souhaite constituer une brigade capable d’attaquer cette chambre-forte en moins de soixante minutes.

George Clooney et Brad Pitt n’ont qu’à bien se tenir…

Braquage

Et tout le toutim…

Tout commence à notre réveil lorsque nous recevons un texto de Max. Celui-ci nous confirme le lieu et l’heure de notre rendez-vous. Déjà excités, nous voilà de suite plongés dans l’ambiance du jeu et dans la peau de malfrats. L’adrénaline commençant à monter, les heures qui nous séparent du braquage s’annoncent insoutenables.

14H00 : nous arrivons enfin dans les locaux de The game. Nous sommes chaleureusement accueillis par notre maître du jeu et sommes de suite invités à discuter autour d’un verre de jus d’orange. Nous avons bien fait de venir !

Pour la première fois depuis que nous participons à des escape games, notre game master fait totalement partie du scénario puisqu’il s’agit de Max en personne.
Nous ne sommes pas là pour chômer et nous le comprenons très vite. Max nous dévoile les plans de la banque… Nous voilà braqueurs en herbe !

Le moment arrive enfin… Nous entrons dans le bureau du directeur de la banque et apercevons la magnifique porte blindée. En ce qui concerne la décoration de la pièce, elle est tout ce qu’il y a de plus moderne. En somme, il s’agit du bureau de monsieur tout le monde.

Le compte à rebours s’enclenche et l’observation laisse place à la fouille. Nous comprenons rapidement que le premier objectif est d’entrer dans la salle des coffres en déverrouillant la porte blindée. Tout se déroule pour le mieux jusqu’à ce que nous perdions cinq bonnes minutes à chercher une clef déjà utilisée. Pour être clairs, nous avons réussi à ouvrir une serrure avec une clef qui n’y était pas destinée. Pour des apprentis voleurs, c’est une belle performance, pour le chronomètre, un peu moins.
Nous arrivons finalement à nous rendre compte de la supercherie et réussissons à trouver les deux clefs permettant d’ouvrir la porte blindée. A nous la salle des coffres !

Il y a des coffres, des dizaines de coffres et des chiffres partout… Quel bonheur pour les grands littéraires que nous sommes. Qu’à cela ne tienne, nous sommes plus motivés que jamais.

Les derniers obstacles s’enchainent très rapidement. La fin de l’énigme approchant, l’adrénaline monte. Nous entrons complètement dans la peau de nos personnages. Un seul but : sortir ! C’est chose faite puisque nous terminons en 53 minutes et 56 secondes.
Record personnel explosé !

OK Braquage

Après délibération du conseil

The game c’est la classe à Dallas, le meilleur accueil qui nous ait été proposé jusqu’à présent. C’est vraiment chouette de commencer par quelques minutes de discussion, autour d’un verre, avec notre game master.
Le fait que ce dernier fasse partie du scenario nous met rapidement dans l’ambiance.

La deuxième originalité concerne le choix du niveau de difficulté ; de celui-ci dépend le nombre d’indices qui vous sont donnés au début du jeu. Une fois votre braquage terminé, pensez à demander ce que vous auriez reçu si vous aviez choisi l’autre niveau.

Dans l’ensemble, Braquage à la française est une énigme assez difficile à résoudre compte tenu du grand nombre d’étapes à réaliser. Aucun temps mort.

Bulletin scolaire

Décors :4
Fouille :1
Réflexion :3
Difficulté générale :4

Le mystère du manoir

Pour votre gouverne

Mystery escape
50 rue de Monceau
75008 Paris

Ligne 2 : Station Monceau
Ligne 3 : Station Villiers

http://www.mysteryescape.com

Après avoir enchainé les deux salles de HintHunt, nous décidons de nous attaquer à Mystery escape et au mystère de son manoir.

Compte tenu du fait que quatre mêmes salles sont disponibles pour cette énigme, vous pouvez réserver pour vingt personnes, rien que ça ! En revanche, si vous avez envie de vous prendre pour les Totally Spies, réservez pour trois.

En heures creuses, le prix par personne participante est compris entre 22€ et 28€. Il est de 26€ à 32€ par personne si vous décidez de venir en heures pleines. Comme d’habitude, tout dépend du nombre de personnes qui composent votre team.

Le scénario ?

Une jouvencelle dénommée Marie de Meauconduits est décédée il y a de nombreuses années. Paix à son âme.

L’esprit de cette dernière, enfermé dans son manoir, continue de hanter les lieux. Pour sortir de la pièce, vous avez pour mission de le libérer en moins de soixante minutes. En cas d’échec, sachez que vous serez coincé avec Marie pour l’éternité. Pas plus, pas moins.

Msry

Et tout le toutim…

En arrivant chez Mystery escape, nous découvrons une salle d’attente moderne et design dont nous ne profitons absolument pas puisque notre maître du jeu est déjà sur le pied de guerre pour nous demander notre nom d’équipe.
Avant d’entrer dans le manoir de Marie de Meauconduits, une vidéo illustrant le scénario nous est diffusée. Nous devons avouer qu’une explication orale aurait été plus sympathique.

Arrive alors le moment d’entrer dans le vif du sujet… A peine la porte ouverte, nous sommes immédiatement plongés dans une autre époque. La décoration est kitch à souhait, parfaitement adaptée à la situation.
Nous apercevons rapidement la défunte Marie autour de laquelle une grosse chaîne est verrouillée par un cadenas. Le reste de la pièce est orné d’une vieille cheminée, d’une bibliothèque et d’un secrétaire. Comme vous vous en doutez, des cadenas et des codes viennent terminer cette décoration.

Nous terminons rapidement la partie fouille et nous retrouvons, pour la première fois, dans une situation de doute. Nous sommes tous les trois assis sur le sol avec nos indices, ne sachant pas quoi en faire. Nous avons le sentiment déroutant d’être coincés. Pas facile. Qu’à cela ne tienne, notre maître du jeu nous glisse un indice sur l’écran et nous voilà repartis dans le droit chemin.

De nouvelles découvertes s’enchaînent en mettant notre réflexion à rude épreuve, très rude épreuve. Nous finissons par sortir après 57 minutes et 30 secondes de pur bonheur, fiers d’avoir déjoué ces indices jamais vus et, bien sûr, d’avoir délivré Marie.

Mystery

Après délibération du conseil

Pour la troisième fois, nous terminons sur une note positive. Nous sommes sortis et avons vraiment passé un très bon moment chez Mystery escape.

La pertinence des indices envoyés par le maître du jeu nous a épatés. Ces derniers nous ont aidés à avancer sans pour autant nous mâcher le travail. Il faut avouer que c’est bon de trouver l’aiguille dans la botte de foin.

Nous avons particulièrement apprécié connaître notre avancée dans le jeu grâce à une jauge de progression présente sur l’écran.

Ne vous fiez pas aux reportages et aux vidéos qui laissent penser que Mystery escape est cheap. Cet escape game vaut le détour et mérite d’être essayé par tous ceux qui souhaitent faire travailler leurs méninges.

Bulletin scolaire

Décors :3
Fouille :1
Réflexion :4
Difficulté générale :4

La zen room

Pour votre gouverne

HintHunt
58 rue Beaubourg
75003 Paris

Ligne 11 : Station Rambuteau
Lignes 3 et 11 : Station Arts et métiers

https://hinthunt.fr

HintHunt… Ce nom vous dit quelque chose ? Sachez qu’il s’agit du premier live espace game qui a ouvert en 2013 au pays de la baguette et du béret. Le principe est simple : entrer dans une pièce et en sortir en 60 minutes.

Suite au succès de leur première énigme, Le bureau de James Murdock, HintHunt a décidé, en août 2014, d’ouvrir une nouvelle salle au design plus travaillé et aux casse-têtes bien pensés : la zen room.
Zen… Quand on y réfléchit, ce mot nous laisse pantois.

Accueillant des équipes de trois à cinq joueurs, HintHunt propose trois pièces identiques pour accueillir cette nouvelle énigme. Autrement dit, si vous voulez jouer à plusieurs, vous prouvez réserver pour quinze participants. Il est cependant tout à fait possible, si vous êtes en petit comité, de réserver pour trois.

En heures creuses, le prix par personne participante est compris entre 22€ et 30€. Il est de 26€ à 32€ par personne si vous décidez de venir en heures pleines.
Vous l’aurez compris, tout dépend du nombre de camarades qui composent votre équipe.

Le scénario ?

Une riche famille japonaise s’est fait piller son héritage. Vous êtes alors mandaté par cette dernière et devez les aider à retrouver ce qui leur appartient.

Comme vous êtes très curieux, sachez que votre objectif est de trouver et déchiffrer cinq symboles japonais avant que les 60 minutes se soient écoulées. C’est indispensable ! C’est nécessaire ! C’est la seule chose qui pourra vous éviter des années d’enfermement et de torture.

Zen 9

Et tout le toutim…

Lorsque nous arrivons dans les locaux de HintHunt, nous sommes une nouvelle fois accueillis par un gentil maître du jeu qui nous briefe rapidement sur l’histoire et les trois règles d’or.

Le moment tant attendu arrive enfin. Nous mettons les pieds dans un magnifique salon japonais aux décors soignés qui nous donnent envie de retirer nos chaussures pour ne pas salir. Nous ne le faisons pas, rassurez-vous !

Dès les premiers coups d’œil, nous découvrons un grand nombre de cadenas et de codes. Le travail de fouille s’avère assez rapide puisque nous déverrouillons la majorité des cadenas dans le premier quart d’heure. Apparaissent alors des énigmes plus intellectuelles qui nous obligent à réfléchir. Le monde reconnaît enfin nos capacités cognitives. Merci.
Trêve de plaisanterie… Certains jeux de logique nous font ramer et perdre pas mal de temps.

Nous finissons tout de même par réunir les cinq symboles puis sortons de la pièce après 59 minutes et 34 secondes de dur labeur.

Sans titre-1 copie

Après délibération du conseil

Nous avons beau être sortis plus « large » que dans le bureau de James Murdock, nous avons trouvé l’énigme de la zen room plus difficile.

Être en équipe et se faire confiance est indispensable pour pouvoir gagner du temps en se répartissant les tâches.

Nous déconseillons cette salle à des groupes composés majoritairement d’enfants. Nous la déconseillons aussi à des personnes souhaitant participer à leur premier escape game.

En ce qui concerne les décors, ils sont extrêmement travaillés et aboutis : Dragon Ball n’a qu’à bien se tenir !

Malgré le fait que nous ayons été en manque de fouille, nous avons été agréablement surpris et convaincus par l’aspect cérébral du jeu.

Bulletin scolaire

Décors :4
Fouille :2
Réflexion :4
Difficulté générale :3

Le bureau de James Murdock

Pour votre gouverne

HintHunt
62 rue Beaubourg
75003 Paris

Ligne 11 : Station Rambuteau
Lignes 3 et 11 : Station Arts et métiers

https://hinthunt.fr

HintHunt c’est la base, le premier live escape game français à avoir vu le jour, en décembre 2013. La classe non ?!

Accueillant des équipes allant de trois à cinq joueurs, trois salles identiques sont disponibles pour cette énigme. Autrement dit, si vous avez beaucoup de copains, vous avez la possibilité de réserver pour quinze participants. A l’inverse, si vous n’avez pas beaucoup de copains ou si vous préférez assurer un climat serein dans votre équipe, vous pouvez réserver pour trois et ainsi vous amuser sans vous soucier des autres salles disponibles.

En heures creuses, le prix par personne participante est compris entre 22€ et 30€. Il est de 26€ à 32€ par personne si vous décidez de venir en heures pleines.
Vous l’aurez compris, tout dépend du nombre de camarades qui composent votre équipe.

Le scénario ?

L’assistante de James Murdock, un célèbre enquêteur, a été assassinée et son corps a été retrouvé dans le bureau de ce dernier. L’innocent James Murdock a été accusé à tort. C’est bête.

Votre mission, si vous l’acceptez, est de trouver le vrai coupable et ainsi prouver l’innocence de notre cher James Murdock. Et c’est là que l’affaire se corse puisque vous n’avez que 60 minutes pour réaliser cette tâche et, de ce fait, déverrouiller la porte pour sortir de la pièce.
Si la porte clignote et s’ouvre, c’est gagné. Si la porte clignote mais ne s’ouvre pas, vous faites face à un bug technique…

Murdock 3

Et tout le toutim…

Lorsque nous entrons dans les locaux de HintHunt, nous sommes de suite pris en charge par notre maitre du jeu, aussi appelé game master dans le jargon. Le temps de ranger nos affaires dans un casier et de passer aux toilettes, nous sommes fin prêts pour notre premier escape game.

Une fois le scénario et les règles d’or assimilés, nous entrons enfin dans le bureau de James Murdock. Nous découvrons une décoration épurée qui met en avant la présence d’une machine à écrire, de vieilles photographies ainsi que d’un téléphone à cadran. Nous voilà officiellement plongés dans le vieux Paris.
Comme dans une vraie scène de crime, une silhouette humaine est dessinée sur le sol.

Complètement excités, nous attendons avec impatience que le compte à rebours s’enclenche. Nous regardons rapidement autour de nous : des cadenas, des codes, des symboles… Il nous tarde de commencer ce qui ressemble à un Cluedo géant.

Le compte à rebours sur l’écran se met en route et les premières secondes commencent à défiler. Nous nous mettons à fouiller, trouver des clefs, des codes… Nous communiquons énormément en hurlant le moindre objet que nous trouvons et le lieu où nous le posons. Nous nous rendons compte que nous avons oublié certaines choses et qu’il faut absolument repasser derrière ses coéquipiers.

Nous allons de surprise en surprise, le rythme s’accélère et les minutes s’écoulent extrêmement vite. Nous sentons arriver la fin de l’énigme lorsque la fouille laisse place à la réfléxion. Aidés par une game master très efficace qui nous envoie des indices cruciaux via un écran accroché dans la pièce, nous réussissons à organiser notre pensée.

Lorsque nous nous rendons compte que cinquante-cinq minutes se sont déjà envolées, nos palpitants s’agitent ; nous mettons tout en œuvre pour regrouper les indices et réfléchir afin de trouver le coupable. Même si cette découverte n’est pas indispensable pour sortir de la pièce, nous arrivons à nos fins et réussissons à nous échapper à la dernière seconde.

Sans titre-1

Après délibération du conseil

Comme nous l’avons écrit plus tôt, HintHunt est à l’escape game ce que Ned Stark est à Game of Thrones. Vous comprenez le côté historique ? Tout ça pour dire que c’est rodé.

En ce qui concerne l’accueil, nous l’avons vraiment trouvé agréable. Les gens sont souriants et prêts à répondre à la moindre de nos questions. Que demander de mieux pour un premier escape game ?

L’énigme est bien ficelée et plaira à tous les amateurs de fouilles. La réflexion, assez peu présente, permet à tous les âges de participer activement et de résoudre l’enquête.

Seul petit bémol concernant le décor : certes nous sommes dans le vieux Paris mais un iPhone se trouve dans la pièce. Voilà ce que les personnes cultivées appelleraient un anachronisme.

Sachez que nous sommes sortis vidés en ayant l’impression d’avoir fait deux heures de sport, la transpiration incluse. Un premier escape game c’est fatiguant, ne soyez pas étonnés.

Bref, nous aurions bien écrit que c’était kiffant mais le langage familier étant prohibé sur cet article, nous préférons vous dire que c’était fort plaisant.

Bulletin scolaire

Décors :3
Fouille :5
Réflexion :2
Difficulté générale :2